🆕 Sous-vêtements menstruels écologiques 🌱

J’imagine que comme moi les personnes qui suivent des blogs ont déjà entendu parler des sous-vêtements menstruels écologiques, lavables, durables, zéro-déchets qui existent depuis maintenant plusieurs années. Depuis l’année dernière l’écologie a pris de plus en plus de place dans la vie quotidienne, chacun étant beaucoup chez soi, on peut plus facilement adapter nos habitudes à des méthodes plus saines et rechercher les produits plus naturels que l’on souhaite utiliser chaque jour.

Dans la suite de mes activités quotidiennes de partenariat, découvertes de nouvelles marques via les réseaux sociaux et surtout Instagram, je suis tombée il y a quasiment 3 semaines sur des publications sponsorisées pour la marque de lingerie bio pour femmes We are jolies que j’avais découverte début décembre sur le blog de Maeva Rbt, darkjeanblackshirtduskyshoes.com également. Cette fois c’est sur Facebook que j’ai revu la publication plusieurs fois, puis en story sur Instagram avec un code promo d’une influenceuse, chloe penderie. Donc comme avec la marque HelloBody en août 2019, après avoir reçu plusieurs mails de promotion sur ma boîte mail gmail j’ai regardé plus en détail et commencé une wishlist des articles qui pouvaient m’intéresser, tout en gardant le code promo de côté. J’avais également reçu entre-temps mi-février une demande de contact par DM sur Instagram pour la marque StrawberryUnderwear et la fin de sa campagne de crowdfunding sur Ulule (financement participatif) et je suis dans l’attente de ma commande de culotte menstruelle sport (retards de fabrication dûs à l’épidémie de covid19).

Puis j’ai vu que We are jolies proposait aussi des culottes menstruelles, de règles donc, et j’ai commencé à regarder plus en détail ce que j’avais pu déjà lire ou voir sans y penser plus que ça à ce moment-là, comme l’article du blog de mpchoco à ce sujet, qu’elle m’a rappelé en discutant en DM (Direct Message) sur Instagram quelques jours après, alors qu’elle présentait la nouvelle collection de sous-vêtements de la marque Minastorm. En cherchant plus globalement sur Google on tombe également sur les articles de blogs de Juliette Kitsch ou Nolwenn Creme maintenant. Ou encore sur Twitter avec des comparateurs de magazines comme MadmoiZelle si l’on cherche des codes promo pour certaines marques en particulier, une fois trouvé une marque que l’on souhaite tester. Il y a aussi la possibilité de contacter les marques pour des partenariats, même si cela ne semble pas toujours aboutir directement, c’est aussi une prise de contact plus personnelle avec les marques, et continuer de faire évoluer leurs produits, comme le souligne la marque Moodz sur son site, avec sa démarche d’innovation. Cela reste un domaine nouveau et les start-up (françaises) sont nombreuses, même si je les trouve complémentaires pour ce que j’ai vu jusque-là. J’ai donc contacté en tout premier la marque Moodz par mail pour une demande de partenariat : partenariat@moodz.co puis commandé en attendant chez Sisters Republic (la pochette/filet de rangement pour 10 culottes et lavage (6 culottes) des sous-vêtements m’a parue particulièrement intéressante). Chez Moodz, le Pack easy pour flux moyen me paraît adapté mais plus en dentelle (actuellement en pré-commande), comme la marque 100% française, plus haut de gamme Pourprées. J’ai également pris l’habitude de m’abonner aux newsletters, souvent il y a des codes promo d’envoyés, des offres ou plus d’informations sur les produits (en complément des photos sur Instagram, Facebook ou Twitter, ou sur le site, afin d’aider à faire un choix), j’ai donc reçu un code de réduction comme ça. Dans leur FAQ (Foire Aux Questions) on trouve aussi un contact pour les demandes de partenariat influenceuse web : julie@sistersrepublic.com. Pour obtenir -20% sur votre commande vous pouvez utiliser le code SISTERS20 !

En tant que blogueuse, on est très facilement dénigrées par certains soit-disant professionnels donc n’hésitez pas à vous faire connaître, car comme vous le voyez encore une fois, sans toutes ces personnes et marques je n’aurais rien à écrire ni à expliquer sur cette petite (ou grande) révolution dans la vie quotidienne de toutes les filles (en plus d’être bon pour la planète, matériaux coton bio/bambou/tencel, eucalyptus pour la plupart des produits) !

Enfin la marque plus récente sans couture (thermosoudé, techwear) Smoon m’a parue intéressante (trouvée sur Google/Twitter), ayant fait une collaboration avec la marque de lingerie, prêt-à-porter pour femme Etam : -15% avec mon lien de parrainage (ou code MADMOIZELLE15). Pour avoir testé les produits de Sisters Republic et Smoon, l’avantage est que les sous-vêtements Smoon sèchent très vite ! Mais leur pack de 3 (culotte Séléné, shorty, string) se destine plus à un flux léger ou moyen. Chez Sisters Republic la culotte tonight super est parfaite pour la nuit (tenue 12h), la culotte Colette medium pour un flux medium ou quelques heures pour un flux abondant (pas de pack composé de plusieurs produits différents disponible). J’ai plus testé jusque-là la culotte et le shorty Smoon et pas encore le bikini Sidonie light comme j’ai rincé et fait sécher les 1ers sous-vêtements après utilisation jusqu’à la fin du cycle. À vrai dire il m’a manqué un article pour flux abondant le temps que le reste sèche, comme par exemple ma commande StrawberryUnderwear qui a 4 couches d’absorption… À tester si ça me convient mieux comme ça. Pour le sport également, après rapide test de vélo cc Anne&Dubndidu, j’attends de voir ce que donne StrawberryUnderwear. Et sinon je verrai avec la marque fempo et ses shorty/shorty++ de son pack trio si nécessaire (la jolie pochette de transport pour la journée peut également être assez appropriée), comme en parlait mpchoco sur son blog ou encore croqueZaza sur twitter/blog (avec notamment la collection lumière et son shorty). Mes 1ères impressions sont également publiées sur mon profil Facebook ou Twitter.

J’espère que ce résumé de mes recherches et tests perso des dernières semaines pourra vous être utile, c’est un budget (car 2 packs de 3 sont pour moi un minimum) mais c’est un choix au-delà de la notion d’écologie qui me paraît plus flexible et confortable que les protections périodiques que nous avions uniquement à disposition jusque-là, une fois trouvé les modèles adaptés à chacune. L’utilisation est très intuitive au final, plus une question d’organisation à trouver au départ, la situation actuelle s’y prête bien, donc autant en profiter ! No stress 😉

Plongée dans l’influencing

Il y a donc un an je parlais de mes activités quotidiennes plus proches désormais de celles d’une blogueuse à temps plein (blogueuse pro, question financière mise à part). Je déchiffrais un peu plus les vues de mes publications, surtout sur Instagram et notamment le mode Story, éphémère sur 24h. Depuis, comme de nombreuses autres blogueuses, intagrammeuses etc. je me suis fait ma liste de profils, marques qui vendent principalement sur internet (souvent via Instagram) en fonction de mes intérêts et besoins, plus de produits parfois encore introuvables en magasin classique (eco-responsable, recyclé par exemple). J’ai donc passé quelques commandes après avoir bien réfléchi aux offres parfois assez conséquentes. Comme pour Hellobody (marque berlinoise de cosmétiques vegan, naturels et non testé sur les animaux) comme j’en avais aussi parlé. Suite à ça (une semaine après) je reçois dans le mode Story d’Instagram des publications sponsorisées assez récurrentes d’une marque de bijoux allemande, Glanzmädchen (en allemand donc), et au bout de quelques jours je commence à regarder un peu plus de quoi il s’agit, connaissant jusque-là que vaguement le terme employé d’influencing (même micro-influencing, pour profils avec peu d’abonnés – je n’ai jamais acheté d’abonnés je précise, donc toujours moins de 1000 abonnés pour mon profil). Bon c’est une pub, et je connais aussi le système de fonctionnement des robots informatiques programmés. Mais leur offre à -20% avec un code à -10% pour partager avec ses abonnés (plus 10% de commission sur les ventes réalisées avec le code personnel le mois suivant la commande, mais sans résultat apparemment pour moi, code ou pas code) peut être intéressant pour un 1er essai, surtout à 3 jours de l’ouverture de la fête de la bière Munichoise. Plutôt que de profiter d’une réduction plus standard à un moment ou à un autre (je ne connaissais pas la marque auparavant de toute façon). Je commençais à avoir déjà acheté chez quelques unes de ces nouvelles marques entre matériel de yoga/méditation, cosmétiques ou habillement/bijoux, ou même carte cadeau offerte. Donc pourquoi pas essayer… On a le temps de regarder, comparer, suivre la marque et ses créateurs sur plusieurs mois si on le souhaite même. Instagram est un réseau convivial avant tout, se basant sur l’amour des photos natures ou colorées au départ principalement, ouvert à ces eshops assez récemment finalement.

Puis à la suite de l’automne, profitant d’une nouvelle offre d’une autre expatriée française à Milan, commande chez Alexiane Bijoux et passage au nouveau magasin Munichois de bijoux fantaisie encore lors des marchés de Noël, Makaro (Viennois à l’origine). Instagram peut aussi redevenir réel par moments. À ce moment j’avais aussi plus regardé des marques de vêtements pour l’hiver à venir ou pour les fêtes par exemple (ou encore commandes sur Amazon – un peu tout testé cette fois) ou la marque de maquillage Banana Beauty (Berlin aussi) et créé un profil mode sur le réseau social 21 buttons. La marque Sericio m’a contactée à ce moment par Direct Message (DM) sur Instagram pour un 2ème partenariat. La marque anglaise fabriquait et envoyait ses articles directement de Chine donc le temps de livraison est plus long (j’ai choisi une robe). La seule contre-partie est de publier une photo de leur produit en les identifiant. Réduction de -50% en tant qu’ambassadeur de la marque, code followers à -40%, commissions sur les ventes 25% (toujours pas de retombées perso). Les relations marques/ambassadors se veulent toujours très conviviales, bien penser à ressortir sa fiche de verbes irrégulier d’anglais de ses cahiers du collège mais c’est tout sinon (hello sweetie 💖 !).

Je pense que si l’on souhaite uniquement profiter de codes promo et risquer de perdre un peu sa personnalité ainsi probablement que l’évolution dans ce monde de l’influencing ne se fera pas de la même façon. Je ne suis pas super addict aux achats, ni aux produits cosmétiques en tout genre mais parfois il faut renouveler un peu son dressing aussi, en fonction des offres ou du temps disponible – à partir de février 2020 et de l’épidémie de covid 19 je n’ai absolument rien acheté sur internet jusqu’à ce que Sandflair me recontacte après des publications de séances plage et yoga chez moi à Brest pour faire un nouveau partenariat maillot de bain/bijou (simplement les frais de port à payer cette fois !). Livraison en provenance de Chine de nouveau délicate mais à cette occasion j’ai reçu de très nombreuses demandes (habillement, leggings, brassières, maillots de bain, lunettes de soleil, robes, bijoux…) que je viens juste de finir de noter, et de voir quels produits pourraient me correspondre en fonction de leur offre ambassadeur. Donc oui ça devient une vraie occupation, prévision de commandes à étaler et prévoir en amont de l’été prochain pour les maillots de bain par exemple (pour la Chine compter entre 4 et 8 semaines de livraison au vu de la crise sanitaire pour le moment, ou international en général!)

Car tout ne tourne pas non plus autour de ça. Mais c’est une forme de webmarketing qui prend sa place, encore plus en 2020. Utilisons simplement les outils dont nous disposons pour pouvoir échanger à distance, protégés. C’est le 1er but de la démarche !

Mais avec le yoga #keepyoga #keeptrainer que j’ai repris cet été, la randonnée au printemps ou à l’automne, le vélo ou la natation l’été, cet engouement pour les vêtements de fitness recyclés notamment permet de tester les marques innovantes, échanger avec elles, leur partager nos diverses expériences personnelles en fonction de nos pratiques. Ne pas hésiter pour ceux qui le souhaitent à « postuler » pour collaborer avec des marques (oceansapart, toujours Berlin, offre la possibilité de les contacter à ce sujet). Cela fait partie de la démarche de Recherche Développement de toute entreprise permettant d’aboutir à tout nouveau produit quelqu’il soit (trust me I’m a « recycled » engineer 🤓💻🔋📠). Depuis cet été entre Garmin Connect (j’ai le fitness tracker vivosmart4 depuis 1,5 ans et le compteur gps à vélo edge 130 depuis quelques mois) et endomondo/strava je partage encore un peu plus mes activités sportives. Profil internet toujours plus complet donc.

Oui j’ai plusieurs oiseaux des jardins domestiqués (un pinson des arbres venant chercher quelques graines dans sa cabane ici). Suffit de leur donner un peu de notre müsli et une jolie cabane dans les bois (si oceansapart pouvait se pencher sur un set legging brassière recyclé (en pneus ?!) vegan pour oiseaux…).

Et après 2 semaines passées à mettre à jour mon nouveau fichier Excel avec tous ces contacts (toujours en phase d’actualisation de mes notes précédentes un peu éparpillées jusque-là), j’en suis arrivée à me rappeler mon tout premier partenariat avec la multinationale automobile qui fait vivre tout Munich et sa région, puisque c’est fin 2011 que j’ai vu sur la table de la cantine BMW une offre de leasing réservée aux consultants externes travaillant pour eux (ce que j’étais déjà depuis 6,5 ans à ce moment-là), surtout que c’était pour la nouvelle série 1 (116i modèle d’expo avec 5km au compteur !) que j’avais personnellement contribué à développer (seule reconnaissance possible apparemment du travail fourni pour l’entreprise…). Plus d’infos à ce sujet ici. Mais entre temps j’ai dû passer totalement de l’autre côté, ce que je ne souhaitais pas, connaissant que trop ce milieu depuis mon enfance (le commerce, sans parler automobile) mais apparemment cette passerelle semble se faire après avoir acquis mon bagage scientifique toutes ces années entre études et expérience professionnelle, temps libre question blog, communication digitale (en multilingue…). Et comme ça fait déjà 3 ans que j’ai dû laisser mon ancien travail, évidemment avec la crise sanitaire de cette année qui se prolonge je me sens plus préparée que d’autres qui peuvent être amenés à faire de même (ou autre) en fonction de leurs connaissances personnelles. Malgré tout mes choix premiers n’ont pas changé même s’il y a beaucoup à faire pour le moment encore dans cette nouvelle activité. Personne ne sait où cela va nous mener de toutes façons. Mais de plus en plus j’utilise au quotidien des méthodes acquises professionnellement ici et ça me rassure énormément en dehors de gagner en clarté et en temps (que je modélise une voiture ou que je partage un code promo… même si ça peut sembler étrange à d’autres, mais c’est exactement ce qu’on attend d’un ingénieur recherche développement, optimiser et organiser un processus pour que d’autres puissent utiliser les outils – chef d’équipe – et que j’ai beaucoup fait les dernières années, j’utilise juste à fond les moyens disponibles que je maîtrise). La question financière est toujours en suspend de plus… On a pas encore la bmw qui roule à l’eau de pluie ou autre il me semble… Mais voilà pour un nouveau bilan plus avancé.

Bébé poulain né pendant le confinement au ranch Blue Nash de Trézien en Plouarzel près de Brest (29), nourris à l’herbe iodée.

Covid19 – à qui profite le crime ?

Toujours aux mêmes. Je raconte sans cesse la même histoire sur les réseaux sociaux depuis mi-mars. Date de début des 2 mois de confinement en France suite à l’épidémie mondiale de covid19, pandémie. Ailleurs c’est partout pareil, rallongé plus ou moins au cas par cas. Et ça fait plaisir d’entendre des médecins oser dire que tout a échoué auparavant pour devoir en arriver là, comme les 7 années de peste noire en 1350 ! Il y a quasiment 7 siècles donc. Fans de chiffres et de mysticisme bonjour !

Je suis ingénieure mécanique énergétique de l’école de Valenciennes (ENSIMEV puis ENSIAME puis INSA Hauts-de-France) en France, promo 2003, spécialisée dans la mécanique des fluides et la thermique, 15 ans d’expérience dans l’automobile principalement chez BMW Group en tant que consultante (boîtes d’ingénierie), dans à peu près tous les services qui traîtent de CFD, Computation Fluid Dynamics. Et oui, ça balance pas mal ! À tel point que j’ai dû démissionner il y a 2,5 ans dans des conditions fantasmagoriques malgré l’intervention de la médecine du travail et autre (aucune participation à des réunions depuis 4 ans, après licenciement de ma première entreprise, sous-employée, sous-payée, un bachelor Indien qui baragouine l’allemand ou n’importe quel idiot manipulable et arrogant à souhait fait toujours bien plus l’affaire). Diplôme de DRT post-diplôme d’ingénieur en aéronautique sur 18 mois, le tout à Munich Allemagne (Bavière).

Arrive là-dessus la crise du diesel chez Volkswagen au centre de l’Allemagne courant 2017. Pour des projets au bureau de l’entreprise consultante cette fois mes chefs me demandent de donner des résultats de calculs dont la pression diverge à 10^12 Pa. ou plus. Bref calcul clairement à mettre à la poubelle. Évidemment des gens qui n’ont pas la formation adéquate peuvent faire ça (FH, Fachhochschule ou autre), tronquer le résultat de calcul en donnant que la température, seul résultat demandé (par BMW Bayerische Motoren Werke ahah). Ils ne coûtent pas chers. En 2017. Peut-être. En 2020 bien plus. Surtout lorsque l’on est passé en Studienarbeit en septembre 2001-janvier 2002 par le DLR de Stuttgart avec comme sujet de stage le refroidissement d’une coupole en verre placée au sommet de la tour centrale d’une centrale thermique à panneaux solaires (centrale solaire). Comment ça personne trouve drôle ? La Bundeswehr est juste sur le point de s’étouffer de rire. Et c’est pas souvent pourtant !

Je vous laisse avec les jolis plots de pollution aux aérosols (cartes France, Europe, monde accessibles à tous) que je suis et partage depuis début avril 2020, avec mes impressions personnelles, entre expérience professionnelle et connaissances personnelles (allergie aux pollen au printemps depuis 10 ans environ par exemple, et sans sonde pitot piquée à la cave !), rien de plus. Mon but en tant qu’ingénieure recherche et développement est assez éloigné d’obliger à ce que chacun doive rester chez soi cloîtré pendant des mois (innovation ?). Certains ont manifestement bien d’autres plans. Cela fait également depuis 2,5 ans que je n’ai pas de contact social en Allemagne, pas de salaire, rien. Frontières fermées depuis mi-mars réouvertes au 15 juin 2020 si tout va bien. Nous sommes 3 millions d’expatriés français (dans ce cas…) soit 1 million de plus que d’habitants à Paris.

Take care!

Va lech’ mad.

Si quelqu’un veut bien expliquer encore une fois aux Espagnols/Portugais que les serres surchauffées produisant pêches et abricots en nombre dès fin mai n’intéressent personne (j’espère !), ça m’arrangerait. Merci.

YTT – Yoga Teacher Training en ligne

Comme je le disais précédemment j’ai commencé à approfondir un peu ma pratique du yoga récemment, après avoir testé pas mal de choses et d’autres. Je connaissais jusque-là uniquement les 18 postures de wii fitplus, ce qui est finalement déjà un plutôt bon début, mais j’ai refait cet enchaînement ensuite sans le jeu plusieurs fois, avant de chercher d’autres possibilités de pratique du yoga. Je suis donc encore une fois tombée sur une application web très bien faite qui permet de combiner une partie théorique personnelle si on le souhaite, en cherchant le nom des postures effectuées dans les programmes proposés et en notant les enchaînements. Assez vite je me suis donc retrouvée à faire du yoga tous les jours et en notant les postures de la séance ensuite en français, anglais et sanscrit (langue indienne, aux origines du yoga). Déjà je peux dire que je connais cette culture par différents collègues que j’ai assez longtemps côtoyés à Munich, j’ai également suivi les YTT Yoga Teacher Training de différentes blogueuses connues comme KnitSpirit par exemple. Donc tout cela est une première approche de l’apprentissage du yoga. L’année dernière j’ai également confectionné mon premier mâlâ, chapelet tibétain (entre temps déjà usé et que je compte donc refaire). Mais tout ceci peut se trouver facilement sur internet, avec aussi le matériel pour pratiquer par exemple chez Baya France ou encore Decathlon tout simplement. En tout cas j’essaie de suivre l’idée du YTT à l’indienne sur un mois, à 200h de yoga, comme le propose Keep Yoga (Keep Trainer), avec un système de points gagnés à chaque ouverture journalière de l’appli (tout en me basant sur ce que j’ai vu et compris de la formation parisienne sur 9 mois avec un week-end par mois de l’EFV). Les niveaux de yoga vont de Y1 (Y2 30 min.) à Y10 (10000 min. soit 166h exactement, je prévois un an pour arriver à ce niveau en continuant comme ça… Donc à voir !) en doublant à chaque fois le temps de pratique total du yoga pour changer de niveau. Pour le moment après 15 jours, je suis à Y5 pour 6h20 de pratique. Et c’est vrai qu’on commence déjà à sentir une baisse de motivation (après les premiers jours un peu délicats à devoir gérer les tensions encore sensibles dans les muscles avant la séance suivante) de devoir pratiquer tous les jours quasiment non-stop. Mais c’est comme toute formation un peu prolongée. Surtout dans une autre culture, ou langue. Car l’appli est en anglais, personnellement ça me va plutôt bien, on s’imagine plus facilement dans un autre contexte je trouve et je pense qu’au bout d’un moment avec l’image on comprend quoiqu’il arrive car le vocabulaire est toujours le même finalement. J’avais déjà acheté le pack méditation de chez Baya France au début de mes changements d’activité, donc mars 2018, comprenant le coussin de méditation (zafu) et une bougie, donc là ça m’est bien utile, surtout pour le premier programme que j’ai fait Stress Relief sur 7 jours (tracké sur Garmin Connect toujours via ma montre fitness vivosmart 4). Les séances se calent dans le calendrier une fois le programme activé donc on ne risque pas de l’oublier (on peut décaler une séance jusqu’à 3 jours), envoi de notifications… Avec les playlists Spotify de Baya France, même encore après la séance par exemple on est encore dans l’ambiance zen ! Et comme c’est l’hiver le temps est plutôt propice à l’allumage de bougies en soirée par exemple. Même si dernièrement j’ai décalé les séances à la fin de matinée. Donc voilà, je me suis déjà relancée dans un nouvelle apprentissage de fond, après la guitare il y a 2 ans bientôt. J’avoue que là mes journées sont bien remplies, même si ça reste sans réelle attente d’objectif officiel on va dire… En tout cas mon carnet de programmes et postures de yoga se remplit bien, donc à un moment là aussi je retranscrirai le tout sur le blog. De toute façon j’ai toujours eu besoin de passer par l’écrit pour mémoriser de nouvelles connaissances ou méthodes de travail, donc je continue… Et ensuite ça peut permettre de se détacher de l’appli progressivement, sans faire non plus forcément de réel effort de mémorisation du coup… Entre les mouvements effectués et la recherche théorique, les nuits permettent d’assimiler le tout. Mais c’est un stage de yoga donc prévoir une bonne implication ou plus d’étalement des séances sinon !

Le plus est aussi que c’est une activité sportive douce, pratiquable quotidiennement, ou que l’on soit je crois, avec au moins une serviette de bain ou autre en support.

Namaste

Podcasting – how to?

Je publie depuis presque 2 ans différents podcasts, comme j’en avais parlé dans mes derniers billets sur la guitare (avec mon smartphone Sony Xperia XCompact, application Action Director pour l’édition des films ou story en direct dans Instagram, oreillette Bluetooth Plantronics Explorer 50, micro-cravate clip-on microphone Speedlink encore à tester et support de voiture Temium), et désormais grâce à la caméra sport Tectectec XPRO2 (+ pochette Dura Gadget et perche shorty-mini GoPro) un nouveau podcast yoga (danse, avec just dance sur Nintendo wii l’hiver dernier). Je vous mets donc ici les différents paramètres que j’utilise tout comme d’abord la résolution pour les vidéos : 🎞️🧘‍♀️ 720P60FPS 📸 8MB @TecTecTecUSA #XPRO2 #podcast (3 GB pour 15 minutes de vidéo) caméra en position verticale (exporter le film via câble USB relié à l’ordinateur) puis dans Microsoft (Live) Movie Maker Accueil/Montage/Faire pivoter de 90 deg.

J’ai au final 3 vidéos 📽️ par #podcast (son : volume off à cause des problèmes de droits des musiques potentiellement écoutées pendant la vidéo, YouTube, Facebook et Instagram sont devenus super sensibles au delà d’une minute de vidéo depuis un an)

➡️ .wmv #Microsoft #moviemaker entière : #YouTube #YouTubeVideo&Music #YouTubers enregistrement film pour lecture ordinateur (40,71 Mo./min) –> total 300 Mo.

➡️ .mp4 (onlineconverter.com max 200 Mo.) 10 min. 🎞️🎬 : #instagram #IGTV + page #facebook 📵💻 enregistrement film pour lecture ordinateur (40,71 Mo./min) –> total 200 Mo.

➡️ .mp4 1 min. 🎞️🎬 : publi #instagram + page #facebook + #Twitter enregistrement film recommandé pour projet (172,58 Mo/min) –> total 60 Mo.

Edition des films dans Microsoft (Live) Movie Maker

Accueil/Ajouter un titre

Format/Titre – Police : Segoe Print / Taille : 32/36 / Couleur : rouge pastel – Paragraphe : centré – Modifier texte : Podcast XXX YYY – jj mois année – Heure de début : 0,00 s. – Durée du texte : 10,00 s. – Effet : cinématique rafale 2 – arrière plan/supprimer (clic droit)

Accueil/Ajouter un générique

Format/Générique – Police : Segoe Print / Taille : 20 / Couleur : rouge pastel – Paragraphe : centré – Modifier texte : #MargotLaFée – Heure de début : 48,00/587/888 s. – Durée du texte : 12,00 s. – Effet : cinématique rafale 1 – arrière plan/supprimer (clic droit)

Couper la vidéo initiale après édition du 1er film, déplacer au préalable le générique à 587 s. pour le film de 9 min 59, placer le curseur à la position de coupe : Edition/Fractionner puis effacer 2ème partie du film et enregistrer projet et film (filmname_2). Procéder de même en déplaçant le générique à 48 s. et le curseur à 1 min. pour couper le dernier film (filmname_3).

Pour obtenir l’image qui servira de miniature/couverture pour la publication sur YouTube ou Instagram IGTV : se placer à la position 2s. du titre par exemple et cliquer sur Accueil/Instantané : enregistrer Instantané_jjmmaaaa (fichier .png). Youtube et Twitter acceptent le format .wmv de vidéo Microsoft Movie (Live) Maker, mais pour Instagram (publication ou IGTV) il faut convertir les vidéos au format .mp4 via onlineconverter.com par exemple et télécharger (download) la nouvelle vidéo une fois convertie au bon format .mp4.

Vous savez tout ! Reste à passer un peu de temps entre téléchargement/importation des fichiers bruts dans le logiciel, édition, enregistrement, conversion au bon format vidéo et enfin téléchargement sur la plate-forme internet souhaitée. Mais après tout ça on est assez content d’avoir récupéré une bonne partie de son quotidien d’ingénieur simulation CFD 😉

Quand aux podcasts #sportywithLFC depuis Noël dernier j’ai également couplé ma montre fitness Garmin Vivosmart 4 avec l’application sportive endomondo qui permet de rassembler tout comme dans Garmin Connect les différentes activités sportives pratiquées (les phases de test des différents matériels électroniques, connectés ou informatiques étaient nettement moins rigolotes avant d’en arriver là, d’où… le yoga actuellement !). Je repère maintenant surtout le nombre de kcal dépensées pour me faire une idée de l’intensité de l’effort pendant chacune des activités car parfois avec Just Dance certaines de mes playlists (enregistrées ensuite dans un fichier .txt) étaient assez physiques (ce qui, combiné aux chaleurs estivales, m’a fait faire une pause jusque maintenant).

Rendez-vous comme d’habitude entre pause café avant, après ou entre 2 films de podcast suivant le temps et l’humeur du jour ! Tout pour passer un bon hiver tout en restant un peu actif malgré le froid et les journées vites raccourcies (et même remplir les pages du blog par la même occasion, je commence à avoir présenté pas mal de mes nouvelles activités donc ça devrait ralentir le rythme là-aussi bientôt et revenir aux normales j’espère). Bonne fin d’année !